samedi 2 septembre 2017

ENTRE DEUX PONTS


Isère me revoilà ! 


Présenter deux fois le même parcours n'a pas vraiment d'intérêt mais finir ce qui a été commencé là est toute la différence. De retour pour la deuxième fois consécutive à Tréminis pour terminer mon parcours dans la région. Mais a-ton un jour véritablement fini de découvrir une région ? Presque un an plus tard je reviens achever ma randonnée de la passerelle de l'Ebron et de la Drac. Le point de départ est le même que celui de l'année passée ( article du 13/09/2016) au parking du pont de Brion. C'est un sentier en remontant la route qui conduit d'abord à la passerelle de l'Ebron. 


Mais la première sera cette du Drac. Donc petit parcours dans les bois, presque sinistres, car le temps n'est pas au rendez-vous mais tant pis. Profitons ! Il y a environ 2.5 kilomètres en chaque passerelle. Il existe un parcours avec une traversée en bateau, la Mira, sur le lac Monteynard-Avignonet. Alors la passerelle de la Drac c'est une longueur de 220 mètres sur 1.20 mètres de large. La hauteur varie entre 45 et 85 mètres. Un peu plus longue que celle de l'Ebron qui fait 180 mètres. Je le redis dans cette article, c'est surtout les mouvements de la passerelle qui peut entraîner des sensations de vertiges.


Pour cette première journée loin de ma région c'est journée soft. Un peu plus de cinq kilomètres, traversée de chacune des passerelles avec bien entendu une halte au bord de l'eau. En se levant tôt, il suffit d'une matinée pour le parcours et profiter ainsi de l'après-midi pour autre chose.


Il y a beaucoup d'autres articles qui sont en attente de rédaction mais le manque de temps ne me permet pas de les rédiger comme souhaités  ou alors la qualité n'est pas vraiment au rendez-vous. J'ai plus l'impression de faire du brouillon. Mais je me dis que le plus important c'est de faire découvrir.


dimanche 25 juin 2017

CATHARE NORDIQUE

Bonjour,

que faire quand il ne vous reste qu'à peine deux heures devant vous avec des personnes qui ne connaissent pas la région ? Et bien la faire découvrir. Et quoi de plus naturel que de faire visiter un château Cathare dans une région où ces derniers ont laissé une belle empreinte.

Passage au château de Peyrepertuse


Château que je visite pour la quatrième fois. Avec plus de temps, et si vous souhaitez marcher, je vous invite à garer votre véhicule au parking de Duilhac-sous-Peyrepertuse et de monter au château en suivant un sentier ou le bord de la route. Certains le fond à dos d'âne. Chacun son truc, et le mien sera de le faire pour le fun en marche nordique. Depuis la caisse, en voyant large, il est estimé un quatre d'heure de marche jusqu'au château.



Jean Markale dans son livre Rennes-le-château et l'énigme de l'or Maudit écrit qu'au XIVème siècle, une reine blanche était l'épouse de Pierre II Le Cruel, roi de Castille, qui l'avait abandonné trois jours après son mariage pour vivre avec sa maîtresse. Enfermée dans une forteresse, elle en avait été délivrée par le Comte Henri de Trastamare, frère naturel de Pierre le Cruel, et conduite par lui au château de Peyrepertuse... Toujours d'après la légende locale, cette Reine blanche , au cours de son séjour à Peyrepertuse fut atteinte d'une maladie. 

Pour sa guérison elle séjourna dans une station thermale à plusieurs kilomètres qui prendront le nom des Bains-de-la-Reine, ancien nom de Rennes-les-bains. Et c'est à la légende/histoire de continuer :
Cette reine en pleurs, au-dessus des eaux, laissa un jour échapper de ses mains un gobelet d'argent qui roula dans le gouffre. Certaines versions disent qu'un berger retrouva le gobelet. D'autres affirment qu'il se trouve toujours quelque part, dans les entrailles de la terre. 


Un grand et beau château qui vous oblige, si vous en avez le temps, à vous rendre chez son voisin, Quéribus. Différent, mais tout aussi savoureux, avec une vue extraordinaire. Et tout comme lorsqu'on va visiter le château de Peyrepertuse il faut se promener dans Duilhac, si vous visitez Quéribus faites donc un tour à Cucugnan.

Pour ces deux châteaux un document informatif vous sera remis. Aussi, vous pouvez choisir pour un guide audio mais perso je suis loin d'aimer ça. Dans un secteur un peu plus large, allez visiter le château de Puylaurens. Même si tous ces châteaux semblent de premier abord tous se ressembler, ceci n'est qu'idée reçue. Le lieu, l'architecture, la conservation, l'atmosphère est à chaque fois différent. Il y a ce qui se voit, toujours différent de ce qui se ressent, de ce que le lieu dégage. C'est cette énergie qui rend chaque endroit unique.

Je minimise les photos mais je vous garantie que l'effet du lieu est fantastique. A très bientôt !!!

vendredi 16 juin 2017

BUGARACH, LA REVANCHE !!!

Bonjour !!!

Souvenez-vous l'an passé, au mois de mai, ma cinquième ascension du Bugarach, la montage mondialement connue que je souhaitais monter pour la première fois en marche nordique. Un temps catastrophique ! Un vent à renverser par terre ! Une année après, je reviens sur mes pas pour planter mes bâtons au sommet ! Chose faite !


Pour cette nouvelle aventure, j'ai organisé un voyage à quatre sur trois jours pour faire découvrir cette région qui me tient à cœur. Comme toujours je loge au gîte de la Bastide à côté de Camp-sur-Agly : http://www.labastide.net/ adepte du système accueil paysan. Bien entendu, si Jules Verne nomme son capitaine Bugarach, n'est-ce pas une allusion très forte au hameau situé en bas de cette montagne Les Capitaines ?

Alors, sous un soleil de mi Juin avec 30° sur le crâne, nous sortons de la voiture garée sur le parking du village du Bugarach, non loin du lac. C'est ici que commence l'itinéraire de Karen.


L'ascension du sommet est la même que l'article de l'an passé. Il ne suit pas de A à Z le chemin officiel. Voici quelques explications plus complètes :
- Longer le lac et au croisement prendre le chemin équestre sur la gauche. Vous montez jusqu'à rejoindre la route.
- Partir à droite de la D45 et marcher une bonne dizaine de minutes.
- Dans un tournant, après avoir passé un pont, prendre un chemin à gauche de la route.



Vous montez légèrement et là il faut être très vigilent car le chemin finit par mener nul part. Il faut tourner sur un chemin à votre gauche juste avant de vous retrouver à ciel dégager, sans plus d'arbres autour de vous. Vous montez un peu et suivez un chemin à votre droite qui devient presque impraticable à cause de la végétation. On pense d'ailleurs faire fausse route. Engorgez-vous dans les feuilles et tout finit par se dégager. J'insiste sur le fait que ceci est ma propre destination avant d'arriver au panneau Voie Fenêtre accroché sur le rocher. C'était celui trouvé en 2007 en souhaitant monter le Bugarach sans carte. 


Vous finirez pas arriver au rocher avec le panneau vous indiquant la voie fenêtre. A partir de là, tout est simple, suivre la couleur Jaune


La voie fenêtre est l'accès le plus difficile pour rejoindre le sommet ; conseillé aux personnes expérimentées, avec une bonne tolérance du vertige, surtout pour redescendre par celui-ci.

Vous grimpez, grimpez et grimpez alternant : partie forêt - partie dégagée - seconde partie forêt - seconde partie dégagée très pentue avant de vous retrouver sur la rocaille du Bugarach.

C'est maintenant la joie de s'agripper contre la pierre, de ne pas regarder en bas pour les plus sensibles, de passer par la fenêtre etc.

Une fois sur le sommet, se fut notre moment repas. Et que faire ensuite ? Plutôt que de repasser par la fenêtre qui n'enchantez pas tout le monde, nous sommes revenus par le Col du Linas, balisage jaune, chemin plutôt doux malgré quelques passages qui demandent plus de souplesse dont les 3/4 se passent à travers les bois.

Petit détail qui peut avoir son importance quand vous arriverez à cette énorme pierre au milieu du chemin (en descendant le Col du Linas). Le chemin se divise en deux voies. Une à droite, une à gauche. Je pense que des blagueurs ont effacé une partie de la croix du chemin de droite laissant suppose qu'il s'agit de la bonne route. Ce même chemin comporte également un balisage orange et descend de manière plus importante. Bref, vous suivez continuellement la couleur jaune et prenez à gauche et non à droite. En montant le Col du Linas, si je me souviens bien, les panneaux indiquent 1H40 de marche.



Arrivés au parking, nous fîmes une petite pause avant de remonter jusqu'au village du Bugarach en coupant par les champs, sans oublier qu'une clôture qui s'ouvre est une clôture qui se referme. Si vous avez deux voitures et ne souhaitez pas remonter par la route, garez-en une au village l'autre au Col et vous vous épargnerez la marche goudronneuse sous plus de 30° comme ce jour-là. 

Pour finaliser cette marche fort bien dépaysante, un ensemble de minis vidéos, initialement prévues juste pour mes souvenir. Mais que dire de plus sur le Bugarach après cette sixième ascension ? Et bien toujours un plaisir de le grimper car une montagne qui ne ressemble à aucune autre sur laquelle nous dominons tout et nous nous sentons plus grand (intérieurement). J'espère pouvoir faire le Puy Mary en cette fin de mois. Vous le verrez très vite apparaître sur le blog. 


Je vous laisserai le plaisir de découvrir de nombreux ouvrages concernant l'Histoire du Bugarach, ses légendes, les ouï-dire, les aventures de Daniel Bettex, les expériences de Genny rivière dans son livre L'appel du Bugarach, la géométrie sacrée avec ces étranges alignements comme celui du château de Montségur et du Bugarach... Bref, un extraordinaire mélange de tout pour cette même recherche de vérité absolue. Bonne journée à toutes et à tous.

vendredi 31 mars 2017

UN DEUXIÈME SANCTUAIRE


Direction VASSIVIERE

Mais pas le lac, le sanctuaire dans le Puy-de-Dôme^^



Quatre ans qu'existe ce blog !!! Avec des périodes de vie et de désert mais il continue toujours. En quatre ans des tonnes de choses se sont passées et on se rend compte toujours et encore que le temps passe trop vite et que nous sommes toujours ignorants malgré un apprentissage constant grâce à tout ce qui nous entoure. 

Changement de vie, de profession et j'envie encore de pousser plus loin mes projets.  La rééducation des jambes/genoux semble vraiment porter ses fruits. Je pense d'ici là pouvoir reprendre un rythme de marche régulier. Cela dit, cela ne m'empêche pas de m'entraîner chez moi^^. 

Souvenez-vous en août 2016, j'ai visite le sanctuaire de la Salette en Isère. Aujourd’hui se sera un tout petit non loin des pistes de ski, à côté de Super-Besse et du lac Pavin. Je ne connais pas les lieux et toute la marche sera guidée par l'improviste.


Le paysage est tout aussi sublime qu'apaisant. En ce mois de mars le sanctuaire est fermé. Je n'ai pas cherché à avoir d'informations concernant son ouverture. J'ai simplement erré dans les alentours avec modération pour mes petites gambettes. 

Grand tour sur le plateau où survivent quelques bandes de neige qui me rappellent un shooting qui remonte à plusieurs années dans le coin en hiver.


Je finis par rejoindre le chemin de croix jusqu'à arriver tout en bas. Chaque croix contient un message de la Bible tirée de l’évangile de Jean. Père, sauve-moi de cette heure! Glorifie ton nom ! Certain socle sur lequel repose les croix sont couverts de cailloux, à mon sens en signe de gratitude. Cela me fait aussitôt penser au film : La liste de Schindler, tombe sur laquelle les personnes viennent déposer des pierres en hommage. 



Les pieds dans l'eau je passe de l'autre côté de la rivière pour parcourir l'autre montagne/colline. Ces petites marches au quotidien vont permettre de préparer les plus grandes à venir. Soleil, espace, nature sont les éléments qu'il me faut pour être serein.



Après une grande visite de ce côté là, deuxième passage par la rivière avant de remonter tranquillement par le chemin de croix et de terminer la marche par des étirements. 

Et si vous êtes très fromages, je vous conseille de faire un arrêt sur la route à la Cave du terroir où, pour sûr, vous ne serez pas déçu. 

Et tant que vous êtes sur place à Saint-Nectaire, visitez l'église en haut du village, elle est splendide !


Voilà tout pour aujourd'hui, je pense faire une nouvelle randonnée dans très peu de temps. Donc à suivre dans les prochains jours sur le blog.

A très bientôt.


vendredi 3 février 2017

QUOI DE BEAU A SAINT-SATURNIN

Bonjour,

et oui... vide fut le blog depuis plusieurs semaines. Malade fut mon corps en décembre ! L'hiver ne m'a pas épargné mais me voici de nouveaux sur deux jambes et en forme. Les genoux vont tant bien que mal et la reprise de la marche se fait petit à petit.

Donc, en ce jour de vent et de pluie, je décide d'y aller mollo et de faire juste un petit tour histoire de satisfaire une curiosité au village de Saint-Saturnin, un des plus beaux villages de France. Oui, il y a fort longtemps sur ce blog, le 22/08/2013 pour être précis, je postais une marche nordique aux alentours. Et là je me dis, bientôt quatre ans déjà que je tiens ce blog. 


Garez votre voiture dans le village en bas, sortez les bâtons, les caoutchoucs pour ne pas abimer les pointes sur le goudron et filer en haut du village. C'est plutôt atypique, sympa, avec de la bonne vieille pierre comme j'aime. Petite visite de l'église Notre-Dame-de-Saint-Saturnin s'impose. Vous ne manquerez pas de regarder le superbe château de Saint-Saturnin   construit au XIIIème siècle dans lequel vous pouvez passer la nuit.


Justement, c'est de cette fontaine du XVI ème siècle, place de l'Ormeau, que je vais partir dans la nature. A gauche, un petit chemin file en direction des lavoirs : le lavoir du creux de Tieu et le lavoir de la Freydière. Par un temps comme celui-ci, cela n'a rien d'enchanteur. On voit des arbres sans feuillage, des chemins boueux, de la végétation anarchique... Des panneaux vous livreront des informations pour relever la magie de quelque chose qui semble éteint.

 


Le premier lavoir, celui du Creux de Tieu, étouffé par la végétation. Un tunnel de 6 mètres sur environ 1.50 de haut. Il servait apparemment encore en 1940. Aujourd'hui ne coule qu'un léger filet d'eau. On s'imagine alors les figures du passé venir à cet endroit régulièrement.







Le pont qui passe au-dessus de la Monne peut vous emmener plus loin.
Mais ce n'est pas le but de cette promenade et pour tout dire, je ne sais pas où il conduit.
C'est un peu plus bas que l'on découvre le lavoir de la Freydière, beaucoup plus joli que le premier. On découvre, on admire, on se pose. Curiosité satisfaite. 



Voilà, un petit tour tout simple comme je les aime. Je prépare les prochaines virées qui seront un peu plus... longues^^. A très bientôt.

samedi 10 décembre 2016

LE CHEMIN DES CHEVRES GELEES

13 kilomètres à pieds... dans le froid dans le froid.

Rebonjour,

voici un nouvel article, pas si nouveau que ça puisque l'avant dernier reprend quasiment l'essentiel de la marche d'aujourd'hui. Mais c'est surtout pour ce paysage superbe que je le poste. Départ parking des dômes pour rejoindre le sommet via Le chemin des Chèvres, dans un froid nordique à trois.
Question paysage c'est superbe. On se croyait même ailleurs. Je vous laisse donc quelques clichés pour vous inciter à mettre le nez dehors lors de températures... glaciales^^


Mais le plus sympa est certainement cet escalier de bois qui ressemble d'avantage à un toboggan géant. Une vraie patinoire qu'il faudra braver. La marche réchauffe et très vite nous arrivons au sommet pour grignoter un coup.


N'espérez pas comme nous de pouvoir vous réchauffer dans la maisonnette (salle de pause géante présentée dans l'article sur le Chemin des Chèvres), elle est fermée pour l'hiver. Prenez plutôt un bol d'air gelé en serrant les dents et en ramassant vos doigts.

Avec un temps pareil, un bon photographe peut se régaler. Et nous en ferons de même en filant direction les grottes du Clerziou non loin du Pariou, voisin du Puy de Dôme. Il faut bien sûr repasser par les escaliers maudits et éviter de se chatouiller le coccyx sur les les marches. Les grottes, quelles grottes ? Mais si, je les ai présenté il y a moins d'un an.


Nous referons un tour dans les trois salles de la grotte la plus profonde, dans laquelle nous croisâmes
jadis quelque chose... de surprenant. 



  
 Et comme la dernière fois, attention à vos cheveux car des lots de 5 à 6 araignées n'attendant que de tisser leur toile dessus.




Puis le retour s'annonce. Nous rentrons en longeant le golf avant qu'une prochaine sortie s'organise. J'espère la prochaine fois vous conduire vers Châtel-Guyon, petit ville blottie dans les bras des montagnes. Bonne journée à vous toutes et à vous tous.

dimanche 27 novembre 2016

COURT MAIS AGREABLE

Bonjour,

voilà bien longtemps que je n'ai rien posté. Et pour cause, cet emploi du temps très chargé. Mais qui peut le plus peut toujours plus^^. Donc pour terminer cette journée du 27 novembre, petit tour vers Gergovie. Souvent lorsqu'on prononce Gergovie, on pense systématiquement au plateau... et pourtant... Il y a quelques jolies coins à explorer aux alentours comme c'est le cas vers Jussat, village situé au-dessus de Chanonat, en bas du plateau de Gergovie. C'est le Puy de Jussat. Un puy, effectivement.


Comptez une heure de marche environ en marchant de façon dynamique. Aujourd'hui le départ commence face au circuit Patrick Dépailler. Au bout de ce premier chemin, prenez à gauche et non à droite ou vous reviendrez sur la route. Vous longez donc la forêt qui se trouve à votre droite.


Les genoux vont mieux et sont en voie de guérison. Je pense à poser les pieds bien à plat en les déroulant depuis le talon. A cette heure-ci le paysage est superbe. Rien d’exceptionnel à la base, mais le jeu de lumière et le calme des lieux embellissent le tout. Seul avec le silence. Au loin on peut voir à gauche la Vierge de Monton (cf tout premier article du blog) et à droite les ruines du Crest, faisant face à jussat, La Roche Blanche, Gergovie...


Sept ans que je ne suis pas venu ici. C'est pas faute de tourner dans les environs. Je repense à tous les événements qui ont défilés depuis. Le Puy de Jussat est aussi intéressant pour ses petites grottes cachées, sauvages. Autrefois je suis passé par toutes les anfractuosités du Puy.  Par le chemin que l'on voit sur a photo ci-dessus, soit vous tournez à droite à la prochaine intersection (chemin qui descend) et vous rejoindrez Jussat et vous pourrez atteindre deux trois grottes en grimpant un peu. Autrement vous poursuivez ce chemin et fouillez un peu sur les quelques niveaux.



 Et voici un peu de musique
pour s'inspirer et donner envie de sortir car nous sommes trop souvent enfermés, au sens large du terme. 



Il est temps de rentrer doucement. Un bon préparatif pour la grande tournée de demain qui prendra place sur le blog. Se sera une revisite de lieux que je poste régulièrement. Sur le planning de la marche nordique, plusieurs nouveautés apparaîtront d'ici la fin de l'année. En attendant je vous dis à la prochaine. Merci à celles et à ceux qui suivent ce blog.